élections législatives
L’ancien président Nicolas Sarkozy, qui ne s’était pas exprimé publiquement depuis la décision d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale, estime dans Le Journal du Dimanche que la dissolution est « un risque majeur » pour la France « comme pour le président » et qu’elle peut plonger le pays dans le « chaos ». Suivez l’actualité de la campagne des élections législatives anticipées grâce à notre liveblog.
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L’essentiel :
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L’ancien président Nicolas Sarkozy, qui ne s’était pas exprimé publiquement depuis la décision d’Emmanuel Macron de dissoudre l’Assemblée nationale, estime dans Le Journal du Dimanche que la dissolution est « un risque majeur » pour la France « comme pour le président » et qu’elle peut plonger le pays dans le « chaos ».
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Les postulants aux législatives dans les 577 circonscriptions ont jusqu’à 18 h dimanche pour déposer leur déclaration de candidature en préfecture en vue du premier tour du 30 juin. Candidatures dissidentes à gauche, alliances locales entre la droite et la majorité, ralliement de LR au RN… tout devrait être connu dimanche soir, à défaut d’être forcément clair après plusieurs journées de confusion.
L’essentiel de la veille :
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Quelque 640 000 personnes en France, dont 250 000 à Paris, ont défilé lors des manifestations, a annoncé la CGT qui a comptabilisé 182 rassemblements dans tout le pays. Pour le ministère de l’Intérieur, il y avait 250 000 personnes à l’échelle nationale, 75 000 à Paris. D’autres cortèges sont prévus dimanche, selon les syndicats, notamment à Lyon.
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La France insoumise s’est offert un regain de tension en dévoilant ses investitures pour les législatives, dont celle d’Adrien Quatennens, condamné pour violences conjugales, mais sans plusieurs figures historiques du parti comme Alexis Corbière ou Raquel Garrido, étiquetés comme frondeurs.
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L’ancien président de la République François Hollande est candidat socialiste pour le Nouveau Front populaire aux élections législatives dans la 1re circonscription de Corrèze. Une tentative qui s’inscrit dans les pas de celle de Valéry Giscard d’Estaing, seul président de la Ve République à être redevenu simple député après son mandat.
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Gabriel Attal a promis samedi plusieurs mesures en faveur du pouvoir d’achat en cas de victoire du camp présidentiel en promettant notamment baisse de la facture d’électricité à l’hiver, mise en place d’une complémentaire santé public et exonération des frais de notaires pour les primo-accédants.
Avec AFP et Reuters